Plus d'un Canadien sur quatre aime la pêche récréative. Ça signifie qu'il y a plus de gens au Canada qui aiment pêcher que de gense qui aiment jouer au hockey.

La communauté de plein air qui inclut la pêche, la chasse, le piégeage, le tir et les pourvoiries a un impact de 20 milliards de dollars sur notre économie. Mais plus que l'impact économique, ce sont des activités ancrées dans la culture du Canada et transmises d'une génération à l'autre.

Les besoins actuels en matière de conservation du poisson et de la faune comprennent une gestion responsable de la biodiversité, le rétablissement des espèces en péril, les conflits homme-faune, l'éducation à la conservation et les questions de santé de la faune et du bétail.

Ce ne sont pas des activités ou des problèmes dont nous entendons parler dans les couloirs du pouvoir à Ottawa ou par des bureaucrates fédéraux. Mais je crois que cela fait partie de notre héritage. En tant qu'intendants responsables de la nature et de notre environnement, je propose de:

• Établir une politique «Fabriqué au Canada» qui affirme que la pêche, la chasse, le piégeage et le tir sportif sont des activités patrimoniales de plein air traditionnelles et respectueuses de l'environnement.
• Exiger que toutes les propositions qui restreindront ou interdiront l'accès du public à des terres ou des eaux publiques aient des données scientifiques indépendantes, propres à un site et examinées par des pairs à l'appui de tout changement.
• Trouver une source à long terme de financement dédié à la conservation des poissons et de la faune.
• Rétablir un conseil consultatif fédéral pour le patrimoine extérieur qui éclairerait les politiques sur la chasse, la pêche à la ligne, le piégeage et la chasse.
• Établir des divisions de pêche récréative, de chasse et de piégeage et des groupes consultatifs avec des représentants de chaque province et territoire dans les ministères appropriés